Week-end fessée à Paris

Catégories : Femmes fessées
il y a 3 ans

Roissy-Charles De Gaulle. Aéroport monstrueux de verre et d'acier, froid comme la mort, et pourtant grouillant de vies humaines. Jacques Brel a bien décrit "Orly le dimanche"; c'est la séparation, le désespoir, l'horreur de la vie qui broie l'existence de ceux qui s'aiment.

Mais ici, au milieu de cette foule, dans le brouhaha répercuté par ces structures de cathédrale païenne, je vivais l'instant inverse: celui des retrouvailles... Enervé, inquiet malgré moi, je cherchais dans le va-et-vient de ce troupeau la petite silhouette fragile aux cheveux d'or, sans qui mon coeur ne battrait plus.

  • Bonsoir...

Seigneur!... cette voix, cette manière inimitable de prononcer ce mot banal!... J'ai sursauté; je cherchais Karen, mais c'est Karen qui m'avait trouvé!... Je n'ai même pas répondu, je l'ai prise dans mes bras, j'ai enfoui mon visage dans son cou, dans son parfum, je l'ai serrée contre moi comme un naufragé s'accroche à une bouée miraculeuse.

J'ai pris sa grosse valise rouge qui pèse toujours trois tonnes, et je l'ai entraînée vers la sortie, bousculant sans vergogne tous les gens qui nous faisaient obstacle. "Le taxi attend", ai-je dit.

Il faisait noir dans la voiture. Les lampadaires qui balisent la route nous éclairaient spasmodiquement. Je regardais Karencita, qui me regardait aussi, avec son merveilleux sourire.

Elle a ouvert son manteau de laine noire, il faisait chaud dans le taxi. Elle portait un gros pull et un jean de velours. Je sais qu'il faisait froid à Madrid comme ici, mais j'aurais préféré qu'elle ait mis une jupe. Je me suis penché sur elle, nos lèvres se sont effleurées, j'ai posé ma main sur sa cuisse, remontant lentement vers son ventre.

  • Y'a de la circulation, ce soir! A dit le taximen avec un terrible accent parisien.

Tout bas, j'ai murmuré: "Tant mieux!..." Et mon baiser s'est fait plus profond. Mon autre main remontait dans le dos de Karen, sous son pull; sa peau nue et chaude m'a électrisé. Doucement, à tâtons, j'ai attaqué le zip de son jean. Serré, beaucoup trop serré, ce jean!... Et la position assise ne favorisait pas mes intentions. Elle a été secouée d'un rire silencieux, silencieux mais immense... J'ai soufflé à son oreille:

  • Et ça te fait rire?... Attends qu'on soit arrivés, tu vas voir tes fesses!...

Elle n'en riait que plus, la tête renversée sur le dossier du siège...

Puis elle est retombée en avant, sur mon épaule, et sa main s'est posée entre mes jambes, réussissant là où j'avais échoué. Certes, mon pantalon était moins serré que le sien... Le chauffeur continuait à commenter les bouchons, la politique laxiste du gouvernement Chirac envers les étrangers, la stupidité de George Bush et les lois anti-tabac. Il en a profité pour signaler que, si je voulais, je pouvais fumer dans son taxi, parce qu'il était lui-même fumeur, et qu'il avait envie d'en griller une...

Maintenant, C'était le visage de Karen qui pesait sur mon ventre. D'un ton que je voulais détaché et naturel, j'ai dit au taximen:

  • Allez-y, mon vieux. Ma femme aussi est fumeuse. N'est-ce pas, chérie?...

Elle est repartie dans son rire silencieux, mais les secousses provoquées par son hilarité m'amenaient inexorablement vers le septième ciel.

Roissy. ! Combien d'enchantement enferment ces mots ! ! Combien de mystère ! Et toutefois, Roissy n'est rien. Simplement un aéroport Normalement les vols internationaux vont à Orly, non à Roissy. Mais cette fois, mon avion allait à Roissy.

Pendant le vol, que j´ai senti très court, je n'arrêtais pas de penser a ça. En réalité le mythique château de Roissy qui avait servi pour l'entraînement de O n'existe pas, c´est une légende. Mais cela n'empêchait pas que mon imagination se mise a voler...

J´étais fatigué, j´avais eu une journée assez folle, comme toujours, et avec les rapidités je perds presque l'avion, aussi comme toujours... Une fois assise dans le fauteuil de l´avion, j'ai repose ma tête dans le siège, et j´ai laissé mon imagination voler.

Je voyais Waldo sortir du brumeux parc de Roissy, en me cherchant entre le brouillard. J'étais habillée avec un vêtement vaporeux blanc, et Waldo me trouvait dans la forêt, et dans ces bras il m'emmenait au château de Roissy.

J'ai dû m´endormir avec ces visions, parce que je me suis effrayé avec la voix du pilote qui annonçait que nous arrivions et que nous devions nous serrer les ceintures de sécurité .........

Il faisait énormément de froid à Paris. Beaucoup plus qu'à Madrid. Je sais que Waldo aurait aimé que j´habille avec une jupe courte, mais j´étais gelée, et j´ai préféré choisir pour le voyage un jeans et un gros pull-over.

J´ai couru vers le ruban transporteur de valises. Je ne sais pas pourquoi je crois toujours que je vais la perdre, qu´elle ne va pas sortir de l'avion ou qu´elle est allé dans un autre avion, mais à la fin, plus tard ou plus tôt elle apparaît.

J'ai saisi la valise par la poignée, et en rodant (elle a des roues) j´ai presque patiné par les immenses couloirs de sol émaillé de l'aéroport gigantesque vers la sortie. Vers la rencontre avec mon amour

PREMIER SOIR A L'HOTEL

Arrivés au George V, nous avons immédiatement été pris en charge par le personnel; la valise de Karencita a été kidnappée par un groom, le réceptionniste m'a facilité les formalités d'inscription, et Un charmant jeune homme nous a conduits à notre chambre. Et quelle chambre!... J'ai demandé qu'on nous monte des consommations; j'ai commandé un Jack Daniel's, et Karen un ice tea.

Je me suis jeté sur l'immense lit moelleux, entraînant ma petite chérie dans ma chute; je l'ai couverte de petits baisers, je l'immobilisais sous le poids de mon corps, et je la crucifiais, serrant dans mes mains ses fins poignets. J'ai soufflé contre sa joue:

  • Tu sais qu'il va falloir que je te punisse, ma chérie...

  • Moi?... Pourquoi, Mon Dieu!... Je n'ai rien fait!...

  • Je n'ai pas aimé ton rire dans le taxi... Tu t'es moquée de moi...

  • Moi? Jamais, chéri, je ne ferais une chose pareille!...

  • Tu mens!... Et je n'oublie pas que tu m'as comparé à King-Kong sur le club!...

  • C'était pour rire, mon amour, tu ne vas pas me punir pour ça, quand même?...

  • Oh, si, sois-en certaine!... Et puis, je vais te punir parce que j'en ai envie, tout simplement...

  • C'EST INJUSTE!...

  • Je le crains, mon amour!...

Vivement, je l'ai retournée sur le ventre et j'ai commencé à lui claquer les fesses sur le jean, mais on a toqué à la porte... Karen s'est échappée en riant, d'un rire que je me suis promis de lui faire regretter, et j'ai dit d'entrer. Le garçon d'étage était jeune, assez beau, et sans doute Pakistanais. Il a posé le plateau avec les boissons et des petits sandwiches sur la table basse du salon.

Tandis que je sirotais mon bourbon, installé dans un profond fauteuil, Karen es passée dans la salle de bains. Quand elle en est ressortie, elle portait une nuisette en voile noir, des bas noirs sans jarretelles, et une petite culotte aussi noire que le reste de sa parure. Ses seins étaient nus sous le léger tissus.

Je me suis levé et je l'ai prise dans mes bras. Mes mains fébriles ont froissé la nuisette qui crissait légèrement contre sa peau. Les pointes de ses seins étaient tellement dures que je les sentais à travers ma chemise. Elle à suggéré à voix basse que je me mette à l'aise, et elle a commencé à déboucler mon ceinturon.

J'ai ôté ma chemise dont un bouton a sauté dans la hâte que je mettais à me débarrasser du vêtement. Karen m'avait baissé le pantalon et elle faisait maintenant glisser mon slip. Je me suis retrouvé nu comme un ver, sauf les chaussettes...

Je me suis assis sur le bord du lit et j'ai attiré ma petite chérie par le poignet; je n'ai pas eu à lui faire part de mes intentions, elle s'est docilement couchée en travers de mes cuisses. Sa peau nue contre ma peau nue, son ventre houlant sur mon ventre, ne m'ont pas permis de la fesser comme je comptais le faire !...

Une quinzaine de claques ont tout de même mis un peu de couleur entre la dentelle noire de la nuisette et la culotte roulée sous le bas de ses fesses. puis je l'ai jetée sur le lit, j'ai arraché sa culotte qui a craqué avec un petit bruit sec. Ses cuisses se sont ouvertes pour m'accueillir. J'ai senti sous mon sexe le velouté de son pubis soigneusement rasé, je me suis enfoncé dans un véritable volcan ruisselant de lave. Ma bouche sur sa bouche, j'ai murmuré:

-Tu me rends fou, tu es une diablesse... Une fille de l'enfer... Demain, tu seras punie pour ça aussi... Sévèrement, je te préviens...

Elle n'a pas répondu, la tête rejetée en arrière, la bouche grande ouverte, son corps a été secoué d'un terrible spasme, et elle a crié, très fort, encore, et encore une fois. J'espère que les chambres du George V sont correctement insonorisées.

Je me suis émerveillé avec l'hôtel. Ses sols brillants en marbre blancs et cru, sa décoration des années 20, les statues blanches qui peuplent tous les coins, les rideaux lourds accrochés en lien par une dentelle, les lampes d'araignée ........ Non, définitivement, Jorge V, n'avait rien voir avec les visions que á l'avion j'avais eu de la forêt brumeuse et le château de Roissy.

Je voulais me changer de vêtement. Ils me tracassaient les pantalons. Je voulais être belle pour Waldo. Il m´avait manqué tant pendent ces deux mois d'absence ! ! ! J´avais tant de désirs de me serrer dans ses bras ! !

Je me souviens que Waldo m'a jetée sur le lit et il s´est jeté sur moi, et il m'a menacée de me punir par le simple fait qu´il avait envie . C était simplement injuste ! ! Je n'avais pas envie de punitions à ces moments. !

Cela faisait deux mois que je ne le voyait pas, et presque je le v i ol e dans le taxi de chemin à l'hôtel ! ! Est que ne pouvait-il pas laisser les punitions pour un autre moment ? Et j´ étais en outre préoccupée. Et si on nous écoutait ?

Heureusement on a frappé à la porte.

Waldo avait commandé des boissons et quelque chose a manger. J'ai profité du moment pour fuir dans la salle de bain. Une immense baignoire blanche , avec des miroirs immenses tout autour. J´ai adoré cette salle de bain ! !.

J´ai pris une douche, je me suis parfumé et je mis un ensemble de voile noire transparente , très décolleté et très court, avec des culottes a jeu, et des bas noires, et mes chaussures noires de talon d'aiguille. Je me suis maquillé, et en adoptant un air de femme fatale, je suis retourne dans la chambre.

Quand Waldo m´as vue sortir il s´est jeté sur moi, il m'a déchiré l'ensemble noir, et nous nous sommes fondu s dans un feu de passion qui nous a brûlées pendant des heures ...........

SAMEDI

Quand je me suis réveillé, les cheveux de Karen s'accrochaient dans ma barbe naissante. Elle était couchée sur le côté, ses fesses contre mon ventre. Je les ai caressées doucement. Elle a gémi un peu. Elle a ramené son bras derrière elle et j'ai senti sa petite main qui se refermait sur ma rigidité matinale.

  • Qui t'a permise ce geste impudique, fille de Satan?...

  • Mmmh... Mmmmh... A-t-elle geint.

  • N'oublie pas que tu es punie, aujourd'hui. Toute la journée!...

Je me suis dégagé à regret de cette douce étreinte, j'avais d'autres projets... Je suis passé à la salle de bains et j'ai enfilé un moelleux peignoir en éponge mis à disposition par l'hôtel. J'ai commandé un petit déjeuner copieux: croissants et brioches, toasts, confiture, café. C'est une jeune serveuse qui l'a apporté.

Elle s'est levée et a voulu aussi mettre un peignoir, mais je le lui ai interdit:

  • Non. Tu vas rester nue, je veux te voir nue. Il fait bien chaud ici, non?... Et pas de protestations, tu es punie!... Toute désobéissance sera sanctionnée avec rigueur, tu es prévenue.

C'était un charmant spectacle... des miettes de gâteau lui tombaient sur les seins et sur les cuisses...

  • Tu n'as plus faim? Bon... Viens ici, petite chatte, viens t'asseoir sur mes genoux.

Je lui ai donné un baiser.

  • Maintenant, tu vas recevoir ta première fessée. Ensuite, nous irons faire un tour... Ts ts!... Pas un mot!... Tu vas dans ma valise, tu prends le martinet et tu me l'apportes.

Dans la valise, il y avait aussi un paddle, et une nouvelle badine de rotin que je viens de fabriquer. J'ai vu son expression en découvrant ces instruments... Mmmh... Délicieuse!

Sur le grand lit, j'ai empilé des oreillers et j'ai fait étendre Karen dessus, le derrière bien surélevé. Elle a enfoui son visage dans ses bras, prête pour le voluptueux sacrifice... Tout en comptant les cinglées que j'administrais à son derrière, je lui ai tenu ce discours:

  • Ma chérie, cinq, six... Il me semble que ton obéissance se relâche fortement. Huit, neuf, dix... Toute ton éducation est à refaire, quinze, seize, dix-sept... Les fessées ne suffisent pas, vingt, vingt et un... Tu as besoin d'une bonne humiliation, de ressentir un peu de honte, vingt-sept, vingt-huit... Pour te ramener à plus d'humilité et moins d'impertinence, vingt-neuf... Souviens-toi bien de ce qui se passe, car tu devras le raconter publiquement à tous nos amis du club... Trente... trente-deux, trente-trois... Nous allons sortir, tu seras vêtue en écolière, trente-huit... Et à la moindre incartade, quarante-deux... je te déculotte et je te fesse, quarante-cinq... Qu'il y ait des gens autour ou pas!.. Cinquante... Je t'épargne le coin pour cette fois. Va t'habiller!...

Je savais bien qu'elle aurait préféré s'habiller en "femme", mais j'ai été intransigeant. On est sortis, on a pris le métro. Malgré qu'elle portât son manteau noir qui était plus long que sa jupette écossaise, je sentais bien qu'elle était gênée en montant les escaliers avec des gens derrière elle... On s'est un peu promenés dans St. Germain des Prés, il faisait très froid, et je l'ai emmenée boire un chocolat dans un bistro. On s'est installés à une table, et j'ai dit:

  • Retrousse ta jupe pour t'asseoir. Je veux que tu poses tes fesses directement sur la chaise.

  • Tu es fou, chéri!... Tout le monde va voir...

  • Bon, tu l'auras voulu.

J'ai attendu que le garçon nous serve, et j'ai entraîné Karen aux toilettes, au sous-sol du café. Je l'ai faite se tenir dans un angle du couloir et j'ai sorti de ma poche le petit appareil digital qui ne me quitte plus. J'ai fait une photo... Un bruit de chasse d'eau. Un type est sorti des toilettes et est remonté dans la salle. Il nous a regardé bizarrement en passant...

J'ai ordonné à Karen de se déculotter; elle a rougi, affolée, mais elle a obéi. J'ai mis la petite culotte dans ma poche, j'ai ployé ma chérie sous mon bras et là, dans le couloir, au risque que quelqu'un nous surprenne, je lui ai donné une dizaine de bonnes claques sur les fesses... On est retournés à notre table, et Karen contrite, a rapidement soulevé sa jupette pour poser son derrière nu et chaud sur la chaise. Nous avons parlé de choses et d'autres, comme si rien ne s'était passé...

Nous avons repris le métro jusqu'à Montparnasse et on a déjeuné à "La Coupole", une célèbre brasserie que j'avais beaucoup fréquentée dans ma jeunesse, après Modigliani et tant d'autres artistes...

  • Chéri... S'il te plaît, laisse-moi remettre ma culotte...
  • Pourquoi?
  • J'ai froid!...
  • D'accord, mais tu auras une fessée supplémentaire à la badine quand nous serons rentrés. Ca te réchauffera.

J'ai sorti le léger tissus blanc de ma poche, et je le lui ai tendu ostensiblement par-dessus la table... Elle a vite enfoui le sous-vêtement dans son sac, mais je crois que nos voisins de table ont compris... Elle est partie aux toilettes.

On a encore flâné sur les grands boulevards, se tenant par la main comme tous les amoureux du monde, et on est rentrés au George V, vers 17h15, comme le jour déclinait.

J'ai pris ma petite chérie dans mes bras, je l'ai embrassée, j'ai caressé ses cheveux. Elle était belle et je l'aimais un peu plus à chaque seconde et je lui ai avoué cet amour. Très tendrement, j'ai dit:

  • La badine, ce sera pour plus tard. Mais pour l'instant, mon écolière rebelle va recevoir une vraie fessée d'écolière...

J'ai tiré une chaise au milieu de la pièce où je me suis assis. Sans tenir compte de son air boudeur, j'ai fait signe à Karencita de venir sur mes genoux, ce qu'elle a fait en traînant un peu les pieds... J'ai retroussé tranquillement la jupe écossaise, et j'ai descendu sa culotte, révélant un derrière qui ne portait même plus de traces de la correction au martinet du matin. Et j'ai commencé la fessée manuelle, claquant alternativement une fesse et l'autre, parfois en plein milieu, sans hâte, mais assez fortement.

De temps en temps, je caressais ce cul adoré, de plus en plus chaud, de plus en plus coloré, et mes doigts s'égaraient indiscrètement dans le sillon moite, et plus bas, dans la douceur troublante de son entrecuisse. Puis je reprenais la punition. Au bout de plusieurs minutes, j'ai mis un terme à cette fessée et j'ai envoyé Karen au coin, face au mur, mains sur la tête.

  • Je m'absente un instant. Ne t'avise pas de bouger, hein? Je veux te voir ainsi quand je reviendrai.

Je suis sorti, mais je n'ai pas quitté le couloir. J'ai entr'ouvert silencieusement la porte, surveillant ma pénitente... Elle gardait la position, mais de temps en temps frottait ses fesses rouges... J'ai attendu un de ces instants pour rentrer bruyamment:

  • Ah, alors, c'est comme ça que tu obéis?... cette fois-ci, ma fille, tu vas savoir ce que c'est qu'une vraie fessée!...

Je l'ai mise sur le lit, à genoux et appuyée sur les coudes, le derrière haut et la tête basse, dans une pose qui ouvrait indécemment son postérieur et révélait tous ses trésors. Je n'ai pu m'empêcher de poser un baiser sur la rosette bistre de son anus. Elle a frissonné. Et j'ai pris le paddle. J'ai claqué et reclaqué ses fesses tendues, jusqu'à ce qu'elle demande grâce, et se retrouve à plat-ventre sur le lit, gémissante, le souffle court. J'ai repris quelques photos. Et puis je lui ai longuement et tendrement massé les fesses avec son produit pour les coups de soleil...

Nous nous sommes endormis.

Ça a été comme un rêve de se réveiller dans les bras de Waldo. Comme le même rêve que j'ai tous les jours quand je me réveille, quand je le cherche et il n'est pas la. Mais il était la, cette fois il était là.

La chaleur de son corps nu collé sur mon dos... Quelle sensation admirable se réveiller dans les bras de l'être que tu aimes ! !

Je me suis serré contre lui et j´ai mis mes fesses sur son ventre. Je l'ai caressé. Ça m´as surpris qu´il saute du lit avec air grave, en me grondent.

Waldo fuyait de mes caresses, parce que s'il se laisse aller, il n'y a pas de punition. Il m´a punie d’'être nue.

Il a comandé le petit déjeuner à la chambre et j´ai du le prendre toute nue. Sans temps ni de digérer le petit déjeuner il m'a fait aller chercher à sa valise le martinet.

A coté du martinet il y a avait le paddle que Xesc m'avait fabriquée, et à côté, un nouvel instrument que Waldo ne m´avait pas parlé et que je ne connaissais pas. Une badine de ratán. J´ai senti le regard perçant de Waldo en surveillant mes actes, mes expressions. Il jouissait avec ma confusion.

Il m'a faite me coucher sur le lit, où il avait mis tous les coussins qu'il avait trouvés, et tandis qu'il me grondait il a commencé à me fesser avec le martinet. C´était Waldo qui comptait les coups.

Après deux mois, la première fessée est toujours terrible ! ! Mais le pire n'a pas été ça. Le pire a été que m'il a dit que je devrais sortir avec l'uniforme d'écolière. ! Avec le froid qu'il faisait !

Nous entrons dans un bistrot, et Waldo m'a dit que je devais me lever la jupe pour m´asseoir Le monde m'est tombé dessus. ! Tout le monde me verrait ! !

J'ai dit que non, et en vengeance il m'a emmenée aux toilettes, qui étaient en bas les escaliers, et là dans le couloir, il m'a faite m'enlever les culottes et il m'a fessée.

Quelle honte ! !

Et en plus, dans un coin du couloir, il a fait des photos. Nous étions exposés que n´importe qui puisse rentrer ou sortir des toilettes. Ce couloir était le pas obligatoire des toilettes au salon. Et il était transité. J'ai cru que Waldo était devenu fou, mais je n'ai pas pu faire autrement qu'obéir.

Waldo parlait sérieusement, et pas question de désobéir !

Nous continuons à nous promener sur Paris. Je me sentait inconfortable sans culottes. Ce n'est pas la première fois, ni la deuxième que je sors sans culottes à la rue. Mais il faisait un froid horrible et mes fesses et ce qui est qui ne sont pas mes fesses étaient congelés ! ! Waldo m'a accordée de me mettre à nouveau les culottes, en échange d´une fessée à la nouvelle badine.

Quand nous arrivions à l'hôtel, il a continué la punition. Cette fois avec le paddle de Xesc... Waldo fessait et photographiait, et mes nerfs allaient en augmentation. La peur qu'on nous écoute, le peu que j'aime qu´on me fassent des photos dans cette position...

À la fin, la punition a arrêté, et Waldo a cessé d'être le Waldo terrible, pour se transformer, comme la nuit précédente, en l'amant le plus tendre, plus doux, plus passionné que femme mortelle aucune a pu jamais rêver

DIMANCHE

Le dimanche n'a pas été fertile en émotions fortes. A 10h, nous ouvrions seulement un oeil. Karen reprenait l'avion en fin d'après-midi et il fallait tenir compte du trajet jusqu'à Roissy. A midi, un de mes vieux amis nous invitait à déjeuner. Le temps nous manquait. Nous avions à peine deux heures devant nous, et la seule chose que nous pouvions faire était de nous prouver notre passion l'un pour l'autre, et nous l'avons fait... Hormis quelques petites claques amoureuses pour rire, l'heure n'a été qu'à la tendresse, et c'est merveilleux aussi, n'est-ce pas?... Mais là, je ne vous raconterai rien, j'en ai déjà dit beaucoup!...

J'ai regretté et je le regrette encore, mais la badine ne sera que pour notre prochaine rencontre, bientôt j'espère, sur la terre d'Espagne...

Waldo et Karen

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